L’écologie n’est pas un simple sujet que l’on étudie à l’école, à l’université ou un débat que les spécialistes et experts en tous genres adorent. Les problèmes écologiques sont bel et bien réels et ils sont au coeur de nos vies quotidiennes. Chacun de nous doit prendre conscience de ses responsabilités et agir, au lieu d’attendre des changements de grande portée de la part des autres.

Dans la vie de tous les jours

Pour protéger au mieux l’environnement, il est essentiel que vous gardiez présent à l’esprit en permanence que chaque petite action que vous ferez peut impacter sur celui-ci. Voici quelques exemples d’actions écologiques qui font du bien à l’environnement. Par exemple, le recyclage des liquides, qui ne vous incombe pas bien sûr, votre rôle étant de les emmener dans une déchetterie. Il s’agit des solvants, des huiles de vidange ou des produits ménagers que vous ne devez plus vider chez vous, ils sont toxiques. Pour les médicaments périmés, rapportez-les chez le pharmacien pour qu’ils soient valorisés énergiquement. Autant que possible, misez sur les produits réutilisables comme les cure-oreilles, la vaisselle en verre, les mouchoirs en tissu, etc.

Produits et aliments

Pouvez-vous vous procurer des produits locaux et bio ? Ils sont bons pour la santé mais aussi pour la planète. Les produits locaux réduisent l’impact du transport des marchandises et n’utilisent ni pesticides, ni herbicides, ni fongicides, ni insecticides ni engrais chimiques. Pour les aliments, achetez en petite quantité pour éviter de jeter, ayez pour habitude de regarder les dates de péremption pour que les produits que vous achetez ne finissent pas à la poubelle, évitez les achats compulsifs en dressant une liste de vos courses et en la respectant. Le fait de manger moins de viande est aussi un excellent geste écologique. L’élevage des animaux destinés à l’alimentation entraîne une grande consommation en eau et en énergie, alors, moins de steak.

Lancez-vous dans la confection d’un potager permaculture. En plus d’être passionnante, cette activité participe à la lutte pour la préservation de la Nature. Voici quelques notions de base à connaître avant de mettre la main à la pâte.

Faire ses premières armes en permaculture

La première chose à savoir est que la permaculture est différente de l’agroécologie. L’agroécologie applique les principes écologiques à l’agriculture. Elle crée des systèmes agricoles durables qui sont respectueux de l’environnement et bénéfiques pour les communautés locales.

L’agroécologie est appliquée aussi bien par les petites fermes que par des exploitations agricoles à grande échelle. Sa mise en œuvre se base sur plusieurs pratiques, notamment la polyculture, la rotation des cultures, l’agroforesterie, et l’intégration de l’élevage.

La permaculture crée des systèmes vivants autosuffisants qui imitent les écosystèmes naturels. Elle est souvent mise en œuvre dans des jardins, des petites fermes, des communautés de quelques membres et par les occupants d’habitats durables. Parmi ses techniques figurent le jardinage en lasagnes, le jardin-forestier, et le paillage. Allez sur Jardin permaculture pour avoir des détails sur ce concept.

En permaculture, le compostage permet de recycler les déchets organiques et d’enrichir le sol sans produits chimiques. Le compostage est une pratique clé dans la culture biologique, car il fournit un fertilisant naturel et il améliore la santé du sol. Le jardin en lasagnes et le paillage contribuent à la création d’un sol riche. Ils maintiennent l’humidité, améliorent la fertilité du sol, et réduisent la quantité de mauvaises herbes. Ils respectent les principes de travail minimal du sol, un des piliers de la permaculture.

Systémique et magique

Dans un potager en permaculture, la diversité des plantes crée un écosystème riche et équilibré, qui favorise la présence de différents insectes et animaux bienfaisants pour la Nature. La rotation des cultures prévient l’appauvrissement du sol et réduit les maladies des plantes.

La polyculture, quant à elle, favorise les interactions bénéfiques entre différentes plantes, une stratégie clé en permaculture pour maximiser l’efficacité et la production du jardin. Enfin, l’autosuffisance est un objectif majeur en permaculture : le jardin-forestier est un moyen d’y parvenir. En imitant une forêt naturelle, on crée un système auto-entretenu qui produit une variété d’aliments. Enfin, la permaculture crée des systèmes où chaque élément contribue au bien-être de l’ensemble.
C’est là tout l’intérêt de mettre en œuvre le compostage, la polyculture, et une technique de gestion de l’eau (récupération de l’eau de pluie). Toutes ces méthodes sont intégrées de manière à soutenir un système de jardin autosuffisant et durable.

L’installation de panneaux solaires sur un toit offre de nombreux avantages, tant au niveau financier qu’environnemental. Or, pour une meilleure durabilité de ce système énergétique, il est impératif d’éviter les 4 erreurs suivantes.

Effectuer les travaux vous-même

L’installation des panneaux solaires à Dijon nécessite un savoir-faire pratique. Seul un professionnel est en mesure de détenir. Il est donc déconseillé de jouer aux apprentis bricoleurs en posant vous-même votre système photovoltaïque sur votre toiture. Pour une durabilité maximale de l’équipement, mais également pour un meilleur confort au sein de votre logement, contactez un spécialiste.

Si vous préférez un artisan, orientez-vous vous vers un couvreur à Dijon. Vous avez aussi la possibilité de vous adresser à une entreprise de couverture à Dijon. Dans tous les cas, confiez les travaux à un professionnel reconnu pour la qualité de ses prestations. Voyez s’il a la réputation de respecter les exigences de ses clients.

Se précipiter

Comme les panneaux solaires constituent une bonne source d’énergie renouvelable, leur achat doit se faire en tenant compte de plusieurs paramètres. Si cette étape n’est pas respectée à sa juste valeur, vous risquez de vous retrouver avec un système qui ne répond pas à vos besoins et/ou défectueux. Ils seront également mal installés sur votre toiture.

La deuxième erreur à éviter lors de la mise en place de panneaux photovoltaïques est donc la précipitation. Prenez le temps d’analyser les caractéristiques du produit proposé afin de prendre la meilleure décision possible. Pensez également à l’ouvrier que se chargera de les poser sur votre toit.

Croire tout ce que dit Internet

Certes, Internet est un bon outil de communication et d’information. Mais, certains sites publient des mensonges, induisant en erreur les internautes. Ainsi, triez les informations que vous y trouvez ou fiez-vous simplement aux sites de professionnels et d’experts. Cela vous évite de faire des erreurs pouvant mettre en péril la bonne installation de vos panneaux solaires. Vous vous protégez aussi contre les dépenses faramineuses inutiles et le matériel défectueux.

Sous estimer les coûts d’installation

C’est une règle d’or, lorsque vous commencez un projet : prévoyez toujours une marge dans votre budget. C’est d’autant plus important pour la mise en place de panneaux photovoltaïques. En moyenne, le coût d’intervention d’un technicien expert tourne aux environs de 300 euros, selon différents paramètres. Toutefois, il est possible d’atteindre un coût de main-d’œuvre dépassant cette estimation. C’est ce qui arrive lorsque les travaux à effectuer sont complexes (tout dépend de l’architecture de votre toiture). La solution est simple : demander un devis.

Les gestes écologiques sont importants pour protéger l’environnement. Être écologique c’est de vivre d’une manière plus saine et avoir des habitudes qui ne sont pas nuisibles à notre planète. Comment être écologique ? Quels sont les gestes à adopter ? Voici quelques méthodes à suivre pour être plus écologique.

Optez pour des énergies renouvelables pour l’électricité

Investir dans les énergies renouvelables est une façon de protéger la nature. La protection de l’environnement est primordiale pour avoir une vie saine et tranquille. D’une façon écologique, pour avoir de l’électricité, il faut adopter des gestes adaptés. Le pétrole et le gaz sont des énergies non durables, pourtant, le soleil peut produire des énergies plus puissantes. D’une part, la plaque solaire ou le panneau solaire peut donner des énergies satisfaisantes pour un foyer et même pour une société. Une technologie d’énergie renouvelable qui emploie le soleil comme source d’énergie. C’est un système qui transforme la chaleur et la lumière du soleil en électricité. C’est une méthode plus bénéfique pour l’environnement que l’emploi d’énergie produite de la combustion des fossiles. D’autre part, il existe aussi d’autres moyens et d’autres technologies qui sont capables de produire des énergies renouvelables pour l’électricité. Tel que l’éolienne, avec l’emploi de la force du vent. La force du vent est importante pour faire tourner ses hélices. Elle est plus économique mais aussi plus écologique pour l’environnement.

Bien choisir les produits de nettoyage

Pour nettoyer les objets, la voiture, la maison, il faut bien choisir ceux qui ne sont pas nuisibles à la nature. Il existe plusieurs produits qui contiennent des ingrédients nocifs pour la nature. Évitez d’utiliser les produits chimiques qui endommagent la biodiversité de la planète. Les produits chimiques qui sont utilisés pour le nettoyage des vitres, des lessives et de la vaisselle, etc. Minimisez donc l’utilisation des détergents, des agents moussants et autres produits causant des dommages à la nature. Le mieux ou même la plus sure est donc d’utiliser des produits plus naturels contenant des ingrédients durables qui ne détruisent pas l’écosystème. Pour faire le ménage sans détruire l’environnement, optez pour des produits synthétiques. C’est une façon de faire le ménage en adoptant des gestes écologiques.

Comme l’adoucissant pour linge est utilisé en fin de lavage, il reste sur le linge et nos vêtements jusqu’au prochain lavage. Le produit entre donc en contact direct avec notre peau. Ce n’est pas tout, les résidus du produit assouplissant sont déversés dans la nature, via le réseau des eaux usées et entrainent la pollution de l’eau. Il convient alors de choisir un produit plus vert, voire fabriquer son propre adoucissant pour être sûr d’agir écologique.

Pourquoi opter pour un adoucissant naturel

Au fil du temps, nos linges et vêtements deviennent rêches et ternes. Ceci est dû en grande partie au calcaire contenu dans l’eau de lavage, mais peut être aussi causé par les résidus de lessive ou de détergent. Nous sommes alors tentés par l’utilisation d’assouplissant qui, trop commercial, paraît efficace et convaincant. Pourtant, contenant trop de substances chimiques, les produits adoucissants pour linges vendus sur le marché sont très dangereux pour l’environnement, mais aussi pour nous-mêmes. Ils contiennent souvent des ammoniums quartenaires et des détergents qui causent des irritations, des allergies et même des maladies de la peau. Leur impact écologique n’est pas moindre, compte tenu du nombre considérable de lessives effectuées chaque jour aux quatre coins du monde.

Quels sont les ingrédients d’un assouplissement écologique ?

Fabriquer ses produits d’entretien domestique quotidien avec des ingrédients naturels est un geste écologique, mais aussi économique. L’adoucissant écologique se fabrique avec des produits 100% naturels, respectueux de l’environnement et de la peau. Le composant principal et très usité est le vinaigre blanc. Basique du nettoyage écologique, le vinaigre blanc élimine les saletés tenaces sur tous les supports, assouplit le linge et son odeur s’estompe dans le temps. La première recette consiste à mélanger ½ litre de vinaigre d’alcool blanc avec 1 litre d’eau déminéralisée, 2 cuillères à soupe d’amidon de riz et 1 cuillère à soupe de glycérine. Une autre méthode d’éco-assouplissant consiste à mélanger 300ml de vinaigre blanc avec 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude et ½ litre d’eau. Un simple mélange d’eau et de vinaigre blanc suffira également à adoucir votre linge après le lavage. Vous pouvez agrémenter chacune de vos recettes de quelques gouttes d’huile essentielle, de la lavande de préférence, car elle convient à presque tout le monde.

Les alternatives écologiques à l’adoucissant pour linge

La balle de lavage est la première alternative qui nous vient à la tête. C’est la boule en silicone conçue pour battre et braser le linge pendant la phase de lavage, contrairement aux adoucissants. Toutefois, son utilisation n’est pas très recommandée pour les linges fins et fragiles. Ensuite, il faut veiller à ce que le linge soit bien rincé. En effet, les dépôts de détergents et de lessive font des linges secs. Fabriquer vous-même votre lessive peut garantir des linges plus doux. Vous avez le choix entre la noix de lavage indienne et le lierre. Vous pouvez aussi opter pour les sèche-linges, fonctionnant à l’énergie verte idéalement, car ils sont connus pour donner du gonflant et de la douceur au linge. Sinon, repasser le linge encore un peu humide ou le repasser à la vapeur reste des solutions relativement simples.

Beaucoup de personnes en quête d’un nouveau logement ont du mal à décoder les étiquettes colorées. Le DPE est pourtant indispensable de réaliser ce diagnostic pour connaître la consommation énergétique de la maison ou de l’appartement.

Pourquoi réaliser un DPE (diagnostic de performance énergétique) ?

En France et en Belgique, un bien immobilier ne peut pas être mis en vente que si son DPE n’a pas été réalisé correctement. En Belgique, le DPE est connu sous le nom de Certicat Performance énergétique des bâtiments ou PEB. L’objectif reste le même ; évaluer la performance énergétique d’un logement, même s’il y a une différence entre la législation des deux pays.

Le DPE : qu’est-ce c’est réellement ?

Le diagnostic de performance énergétique (DPE) fait partie des diagnostics à réaliser dans un logement avec l’amiante, la thermite et du plomb. L’étiquette de performance énergique. Le diagnostic se divise en deux : la performance énergétique et la performance climat. L’énergie permet de déterminer la consommation énergétique du bâtiment, tandis que le climat évalue le taux d’émission à effets de serre. Le diagnostic sera évalué par un professionnel qui attribuera une note entre A et G. Les logements qui obtiennent A sont les plus performants et consomment moins d’énergie. Ces logements émettent également moins de gaz à 8 *effets de serre.

Le DPE : les avantages pour les locataires et les acheteurs

Les locataires et les acheteurs tirent de nombreux avantages avec DPE. Ces données leur permettent de comparer les logements, et de choisir celle qui consomme moins d’énergie. Évaluer le coût réel de la communication énergétique dépendra surtout des besoins de chacun des occupants d’un logement, mais le DPE permettra d’avoir une estimation, sur les dépenses que réalisera le foyer en énergie, en plus du loyer ou de l’achat du logement. Le DPE évoque la transparence selon le gouvernement français et belge.

Les avantages du DPE pour les propriétaires

Réaliser un diagnostic de performance énergétique est une obligation pour les propriétaires. Le DPE permet surtout de valoriser les biens immobiliers. Plus le logement consomme moins d’énergie, plus les acheteurs et les locataires se bousculeront pour l’avoir. Même si le prix ou le loyer d’un logement est beaucoup plus cher, les locataires et les acheteurs n’hésiteront pas à investir du moment où ils peuvent réaliser des économies d’énergie.
De plus en plus de français et de Belges préfèrent se détacher d’un logement énergivore, même si le loyer ou le prix d’achat est très faible. Le DPE constitue une réelle mine d’informations pour eux, leur permettant de réaliser un plan énergétique profitable pour l’environnement.

Le DPE permet également aux propriétaires de profiter des recommandations. Un logement énergivore risque de faire fuir les acheteurs et les locataires. De ce fait, des travaux seront à envisager pour minimiser les consommations énergétiques.

Il n’est pas toujours nécessaire de faire partie d’une grande association d’écologie pour pouvoir contribuer au bien de l’environnement. Un changement peut très bien se produire à petite échelle. Pour laisser un impact positif sur l’environnement, il existe plein de petits gestes très efficaces. En plus de sauver l’écologie de la planète, ces comportements agissent aussi positivement sur la santé et les économies. Voici alors des directives pour agir sur le bien de l’environnement.

Adopter un mode de transport plus écologique

Même si les voitures individuelles sont très pratiques pour se déplacer, ils représentent aussi les transports les plus polluants. Leur émission de gaz carbonique au cours de l’année détruit l’air de la ville, mais aussi la santé des habitants. Pour laisser un impact positif sur l’environnement, il n’est pas question de supprimer définitivement la voiture de son quotidien. Il s’agit juste d’en réduire l’utilisation.
Il existe d’autres moyens plus écologiques de se déplacer en ville sans devoir émettre du gaz toxique. Il y a bien évidemment l’option du vélo, mais également celle de la marche. Bien sûr, cela va demander beaucoup plus de temps qu’avec une voiture, mais permet de protéger l’environnement et la santé en même temps.

Faire attention à son logement

Mis à part la pollution causée par les moyens de transport, il y a également l’impact négatif de la consommation énergétique dans les logements. Plus concrètement, la pollution est causée par l’électricité et le chauffage dans les divers foyers.
Pour remédier à ce problème, il faudra faire attention à sa consommation d’eau et d’électricité au quotidien. De même, il faudra aussi penser à rénover sa maison pour gérer son isolation de température. Il faudra s’assurer que son habitation soit la plus écologique possible.

Vous êtes certainement d’accord sur le fait que, bien qu’il existe un ministère spécialement dédié à la protection, à la sauvegarde de la nature, de l’environnement et de la biodiversité, chacun de nous a le devoir d’agir en faveur de la planète. Et si vous êtes parent, il est également de votre responsabilité d’enseigner des gestes écologiques à vos enfants.

Des gestes efficaces

Tout cela pour essayer de sauver ce qui peut l’être encore et de léguer un monde meilleur aux générations futures. L’important, c’est de réduire le plus possible notre impact environnemental, et ce, au quotidien. Si vous adhérez à ce concept, cela vous poussera probablement à changer vos habitudes de vie, voire vos réflexes. Cela peut concerner votre alimentation comme les déchets que vous produisez, ou encore certains produits que vous utilisez habituellement. Par quoi commencer pour que ces gestes soient vraiment efficaces ?

Pour être plus écolo en matière de déplacement

Ce qui peut réellement réduire votre empreinte environnementale au quotidien, c’est de changer un tant soit peu vos modes de transport. Si vous avez l’habitude de prendre votre voiture tous les matins pour vous rendre au travail, sachez que c’est l’action la plus polluante que vous faites chaque jour. Aussi, autant que possible, prenez de moins en moins le volant pour vos déplacements quotidiens. Ce peut être quelque peu difficile si vous habitez loin de la ville, à moins qu’un bus vous desserve sur votre trajet. Le vélo constitue un choix des plus sains et des moins polluants. Le covoiturage peut aussi être envisagé, notamment si certains de vos collègues se trouvent sur votre itinéraire pour vous rendre au travail. La marche est certainement l’une des solutions les plus intéressantes, car non seulement vous ne polluez pas, mais en même temps, vous entretenez votre forme physique.

Les BEPAS ou bâtiments à énergie passive comment à trouver ses adhérents dans le milieu écologique. Il permet de mieux économiser l’énergie en s’efforçant de réduire la consommation au mètre carré du bâtiment. L’objectif est de consommer moins que le bâtiment basse consommation.

Bâtiment à énergie passive : qu’est-ce que c’est ?

En général, le bâtiment à énergie passive est un logement fonctionnel et pratique, dont la consommation énergétique ne consomme pas plus de 15 kilowattheures par jour et par mètre carré. En d’autres termes, le système de chauffage du bâtiment se fait passivement. Pour cela le bâtiment utilisera les énergies que dégagent les occupants de la maison, les appareils électriques présents et l’énergie solaire récupérable. Il n’est doté que d’un chauffage central. Bien évidemment, cela n’est pas suffisant pour profiter d’une belle économie d’énergie. Pour avoir le label de construction BEPAS, les besoins en énergie primaire du logement ne doit pas dépasser les 20 kWh/m²/an, ses besoins en énergie finale ne doivent pas être supérieurs à 42 kWh/m2/an, son étanchéité d’air est doit être de n50.

Comment faire pour avoir cette architecture ?

Pour réaliser un tel projet, il est important de se conformer à certaines règles. Un logement à énergie passive doit avoir une bonne isolation. Cela minimise les déperditions énergétiques. C’est indispensable que ce soit en hiver pour garder la chaleur à l’intérieur de la maison en hiver et de préserver la fraîcheur en été. L’isolation doivent être efficace au niveau des murs, des combles, du plafond, des portes et fenêtres et même du sol. Une bonne isolation garantit la réussite de votre projet. L’isolent doit être de la bonne épaisseur. Il en est de même pour ceux des portes et fenêtres. Il est préférable d’y installer un triple vitrage ainsi qu’un revêtement capable d’attirer la chaleur pour réchauffer l’intérieur de la maison.
Le système de ventilation est également un point important à prendre en compte. Il doit permettre de profiter d’un air frais au sein de la maison tout en minimisant les pertes d’énergie lorsque l’air se renouvelle. L’idéal c’est d’y installer un système de Ventilation Mécabique Contrôlée (VMC) double -flux avec un échangeur de chaleur. Cela permettra de réduire les pertes de chaleur pouvant atteindre jusqu’à 90 %. La maison doit également avoir une bonne orientation pour avoir un bâtiment passif. Il faut orienter la façade vers le Sud et que son orientation principale est axée d’Est-Ouest. Il faut donc choisir le terrain avec soin pour trouver la bonne orientation.