L’utilisation de pesticides n’est pas obligatoire sur son jardin. Vous pouvez avoir la main verte sans recourir à ces produits chimiques. Quelles sont alors les solutions pour s’en passer?

Les pesticides bio

Il existe des pesticides bio qui sont reconnaissables par une mention « emploi autorisé dans le jardin » sur son emballage. Pour ne pas vous tromper, vous pouvez consulter le site officiel du gouvernement. De cette manière, vous éviterez d’utiliser du glyphosate dans votre jardin. Certes, ces produits sont des pesticides efficaces, mais ils ne contiennent pas les produits les plus dangereux.

Les composts

Le compost est une façon de réutiliser les déchets organiques. Ils se transforment en engrais biologique et équilibré pour votre jardin. Pour un compost, vous avez la possibilité d’utiliser les déchets de cuisine comme les épluchures, les coquilles d’œuf ou les résidus d’herbage, des tailles de jardin ou des tontes de gazon. Si vous n’avez pas un composteur, demandez auprès de vos voisins si vous pouvez créer une solution collective.

Le paillage

Pour éviter aux mauvaises herbes d’envahir votre jardin, évitez de laisser votre sol à nu. Vous pouvez le recouvrir avec des écorces ou des tontes de gazon. Cette technique permet d’éviter aux herbes folles de s’installer tout en maintenant le sol en bonne santé. Elle préserve également le dessèchement du sol pendant l’été. Par ailleurs, le paillage aide à la formation d’humus, un élément très avantageux pour la fertilisation du sol.

Le binage

Pour bien entretenir son jardin, il n’y a rien de mieux que de désherber à la main ou à l’aide d’un outil comme la binette et le sarcloir. Cette méthode permet d’aérer le sol tout en limitant l’évaporation. Vous vous débarrassez également des herbes folles au début de la germination. Cette technique est la plus naturelle. Elle procure également une satisfaction personnelle si vous aimez travailler la terre.

L’abattage d’un arbre est un travail qu’il ne faut pas prendre à la légère. Si vous devez réellement le faire vous-même, il est important de vous familiariser avec les bonnes manières. Voici quelques conseils pour abattre un arbre en toute sécurité.

Avoir un équipement de sécurité

Même si l’arbre que vous prévoyez d’abattre n’est pas exceptionnellement grand, il est toujours conseillé d’avoir un équipement de sécurité. Votre sécurité doit toujours être la priorité absolue. Donc, équipez-vous de gants de travail, de lunettes qui couvrent entièrement vos yeux, de chaussures solides et fermées, de protection auditive et de casque.

En ce qui concerne les vêtements, il est préférable de porter un haut (t-shirt, chemise, pull, etc.) à manches longues et un pantalon. Mettez-vous à l’aise dans ce que vous portez, mais couvrez-vous bien.

S’équiper des bons outils

Si vous avez un jeune arbre ou un petit arbre, vous pouvez vous servir d’une hache. Mais pour plus de sécurité, il est toujours mieux d’utiliser une tronçonneuse. C’est le meilleur outil pour abattre efficacement et rapidement un arbre. Pour les arbres petits à moyens, une lame de 16 à 18 pouces est idéale.

En revanche, pour couper un grand arbre, utilisez une lame de 20 à 24 pouces. N’oubliez pas que le poids compte aussi. Choisissez un poids moyen pour ne pas vous fatiguer les épaules et les bras rapidement. Le plus important, vous devez connaître le fonctionnement de l’outil. L’option la plus sûre pour un abattage, un élagage ou un débroussaillage d’arbre est de faire appel à un professionnel comme A.C. Paysage.

Analyser avant d’agir

N’essayez surtout pas de couper votre arbre à l’aveuglette. Prenez le temps de réaliser une analyse de l’arbre que vous allez abattre, ainsi que de ses environs. Si des conditions dangereuses se présentent, n’essayez pas de prendre le risque d’abattre l’arbre. Voici quelques facteurs que vous pouvez noter : les bâtiments, les structures, les automobiles, les lignes électriques, les arbres à proximité. Notez la direction de l’arbre et son état. Si tout va bien, vous pouvez commencer à travailler.

Les activités humaines ont beaucoup d’impact sur la biodiversité. En effet, certaines actions peuvent favoriser la détérioration des environnements terrestres et marins. Il faut alors agir au plus vite et de manière efficace pour protéger la biodiversité.

La biodiversité est indispensable sur le plan physique et psychique de l’homme

Au cas où vous ne le savez pas, la biodiversité fournit l’oxygène dont l’homme a besoin pour respirer quotidiennement. Elle produit en même temps l’eau que vous buvez tout comme le bois essentiel pour vous chauffer. D’autres éléments sont aussi offerts par la biodiversité pour ne citer que les produits agricoles. Mis à part cela, la biodiversité peut en même temps vous protéger contre les inondations tout en améliorant la qualité de l’air. Vous pouvez aussi profiter d’un important épanouissement psychologique comme les différents loisirs. La biodiversité peut aussi avoir un impact sur la spiritualité.

La biodiversité pour réduire les changements climatiques

Il faut noter que la biodiversité peut favoriser la protection contre l’érosion. Une mauvaise gestion du sol peut alors causer un dérèglement du climat. Ainsi, il est important d’éviter de réduire les forets tout en améliorant l’utilisation des sols. Vous devez aussi savoir que la déforestation est une activité qui peut grandement augmenter le taux de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Cela peut également causer des changements climatiques comme l’augmentation excessive de la température. Il ne faut pas oublier qu’une biodiversité riche garantit la stabilité du sol ainsi que le climat.

La biodiversité est une chose presque irremplaçable

Il est important de bien prendre soin de la biodiversité vu qu’elle est presque irremplaçable. Sachez, par exemple, que les bois que vous couperez ne seront pas remplacés rapidement. Cela est aussi le cas pour les animaux qui peuvent succomber par certaines activités de l’homme. D’ailleurs, les nouveaux éléments remplaçants ne seront pas identiques aux anciens. On peut alors dire que la biodiversité est à la fois unique et irremplaçable. C’est pour cette raison que vous devez faire le nécessaire pour préserver la vie de la biodiversité.

Nantes, aussi appelé Venise de l’Ouest, est réputée pour ses beaux quartiers et ses diverses richesses architecturales. Elle est dotée de nombreux patrimoines historiques. Alors, si vous décidez de venir habiter à Nantes, vous allez pouvoir identifier les quartiers à privilégier à travers cet article.

Le quartier du Centre-Ville

Situé en plein cœur de la ville, ce quartier offre de nombreux services de commerce et de proximité. Il dispose d’un axe de transports en commun pour faciliter le déplacement de tous les jours de ses habitants. Quartier en perpétuelle expansion, le Centre-Ville compte actuellement un peu moins de 25 000 habitants. Bien qu’ayant des lieux historiques comme des châteaux, un Hôtel de ville et bien d’autres encore, le quartier est composé de logements conçus selon les normes, proposés à des tarifs abordables.

Pour plus d’informations et d’astuces pour y vivre, vous pouvez vous rendre sur ce site. Sachez que Nantes est à seulement deux heures en TGV de Paris.

Dervaillère – Zola

Le quartier de la Dervaillère-Zola abrite plus de 33 000 habitants et c’est l’un des quartiers ayant une forte concentration d’habitants. La population est constituée de jeunes familles pour la plupart, dont plus de la moitié vit en location. C’est pour cela que le logement en location dans ce quartier fait partie des meilleurs à Nantes côté confort et coût. En outre, le quartier possède des espaces verts comme les parcs et les jardins.

En plus des commerces et des services de transports en commun à proximité, le coût de la vie y est abordable.

Malakoff – Saint-Donatien

Avec pas moins de 30 000 habitants entre la Loire et l’Erdre, le quartier de Malakoff – Saint-Donatien se démarque à travers ses multiples visages. De nouveaux projets de logements y voient le jour chaque année. C’est bien grâce à ces projets que le coût de l’immobilier dans ce quartier reste abordable. De plus, l’accès aux transports en commun est facilité de par la proximité de la Gare de Nantes et des autres stations de transport.

Avoir une porte d’entrée vitrée est un choix très intéressant que ce soit sur le plan esthétique ou sécuritaire. Toutefois, il faut toujours se préparer à réparer le vitrage de la porte à un certain moment.

Le vitrage doit respecter les normes après la réparation

Avant d’aller plus loin, il faut souligner que le vitrage de votre porte d’entrée doit répondre à la RT2020. De ce fait, le vantail doit assurer la performance énergétique de la maison comme les autres équipements à l’intérieur. Ajouter à cela, vous devez vous assurer que le vitrage ne causera pas une forte augmentation de température pendant les saisons chaudes. Pour une construction neuve, la porte doit respecter les limites de consommation d’énergie.

Le matériel à utiliser pour réparer votre vitrage

Il se peut que le vitrage ne soit pas trop cassé. Il peut alors se réparer facilement. Cela vous permettra d’économiser de l’argent vu qu’un remplacement de la vitre peut coûter plus cher qu’une réparation. Il suffit de trouver le matériel nécessaire pour intervenir dans les meilleures conditions. Notez alors que vous aurez besoin d’un ruban adhésif transparent et d’un papier de verre à grain moyen. Achetez aussi un ciseau à bois ainsi qu’une cale à poncer et des tréteaux.

Commencez par sécuriser les brèches et les renforcer

Après constatation, il semble que le verre ne présente qu’une brèche ? Dans ce cas, il suffit d’appliquer de l’adhésif transparent et le problème est résolu. Personne ne verra pas le ruban grâce à sa transparence. Notez que l’accessoire vous évitera d’autres dégâts, car la fissure sera parfaitement renforcée. D’un autre côté, il faut appliquer l’adhésif au niveau de l’arête tranchante si vous êtes face à une brisure. Vous vous occuperez des détails plus tard.

Retirez la vitre pour faciliter la réparation

En cas de brisure, il faut commencer par déloger les parcloses qui retiennent la vitre. Vous devez faire attention à ne pas détériorer les feuillures quand vous ajoutez la lame depuis les côtés. Un léger effet de levier doit se faire pour enlever la vitre. Posez-là sur une surface plane pour la réparer. Il faut adoucir le tranchant de la vitre cassé à l’aide d’un papier de verre monté sur une cale de ponçage. Poncez toutes les zones qui peuvent vous blesser avant de remettre la vitre à sa place.

Il existe des métiers où il faut plutôt porter un short. Ce vêtement professionnel existe en différents modèles. Lors de son achat, il est essentiel de vérifier certains points et certains critères. D’abord, vous devez savoir pour quel métier l’utiliser, considérer le tissu avec lequel il est fabriqué, ainsi que sa couleur.

Les différentes catégories de short de travail

En ce moment, vous pouvez voir sur le marché deux catégories de ce vêtement professionnel :

– Le short industrie : Comme le lieu de travail n’est pas exposé aux mêmes contraintes qu’un chantier, ce bermuda est beaucoup moins renforcé. Il présente également peu de fonctionnalités. Bref, il est simple. Le plus souvent, il s’agit d’un short de travail pas cher.

– Le short BTP ou bermuda de chantier : Ce modèle, quant à lui, existe en différents modèles : des bermudas de travail flexibles qui permettent une grande liberté de mouvement, des shorts de travail ultra résistants qui sont parfois équipés de plusieurs renforts, et des bermudas de travail multipoches, parfaits pour ceux qui utilisent de multiples outils au quotidien.

Si votre travail nécessite de vous mettre souvent à genoux, vous pouvez tout à fait protéger vos genoux, tout en portant un short de travail. Vous pouvez opter pour des grenouillères de protection par exemple. Elles peuvent tout à fait se mettre par-dessus la peau, contrairement aux plaques de protection genoux qui doivent se glisser dans les combinaisons ou dans les pantalons.

Le tissu du short de travail

Comme tout autre vêtement professionnel, les shorts de travail sont également fabriqués dans une large variété de tissu. Il est important de bien le choisir, car il influe directement sur la résistance du vêtement. Les deux tissus les plus idéaux pour des bermudas de travail sont le Ripstop et le coton.

– Le Ripstop est un tissu très technique, façonné en maillage. Les shorts de travail en Ripstop garantissent une grande résistance et une grande robustesse grâce aux fils de chaîne et de trame présents dans la structure du tissu. Le Ripstop permet de concevoir des vêtements légers, adaptés à tous types de climats, et à zéro porosité.

– Le coton procure un excellent confort au porté. Pour votre short de travail, vous pouvez choisir un 100 % coton. Un modèle en coton majoritaire mélangé de polyester est également un bon choix. Vous pourrez profiter des avantages confort du coton et de la durabilité du polyester.

Vous devez également prendre en compte le grammage du tissu, à savoir son épaisseur, surtout lors des temps de fortes chaleurs. Vous souffrirez moins de la chaleur avec un tissu plus léger.

La couleur du short de travail

La plupart des shorts de travail sont de couleur grise, noire et bleu marine, beaucoup plus adaptées aux tâches salissantes. Mais, comme pour les autres vêtements professionnels, vous avez le choix en termes de coloris, sauf bien sûr, si vous avez un code couleur d’entreprise à respecter. Il y a par exemple le blanc, beaucoup mieux pour les plâtriers, les plaquistes et les peintres, et le vert pour les paysagistes.

Notez que les bermudas de travail existent aussi en modèle « haute visibilité ». Si vous travaillez dans un lieu qui exige le port de vêtement de signalisation ou si votre chantier se trouve à proximité des voies de circulation, ces modèles sont les plus adaptés. Ils vous procureront plus de confort, tout en garantissant votre visibilité, et ainsi votre sécurité.

Vous pouvez trouver des shorts de travail dans les magasins d’EPI (Équipements de Protection Individuelle) ou sur Internet.

Outre les grands travaux de rénovation, il y a des petits gestes et travaux d’aménagement que vous pouvez faire pour réaliser un peu plus d’économie d’énergie chez vous. Mais quels en sont-ils ?

Changer les fenêtres de la maison

Pour commencer, savez-vous que les fenêtres de votre maison ont bien plus qu’un rôle esthétique ? Ce sont des isolants à part entière. Si vous respectez les normes, elles peuvent à la fois vous protéger du bruit extérieur et vous permettre de réaliser des économies d’énergie.

Mais quelles sont les réglementations en vigueur en la matière ? Afin de vous chauffer correctement, une fenêtre doit avoir un coefficient Ug de 1,1 W/m2K en moyenne. Autrement dit, vous ne pouvez plus vous permettre désormais que le double ou le triple vitrage. Un remplacement de vos ouvertures de maison s’impose donc pour une meilleure performance énergétique. Des professionnels peuvent vous aider en ce sens. Vous pouvez visiter le site https://fenetre-77.fr pour trouver une entreprise spécialisée dans la pose de fenêtres en Seine-et-Marne.. On vous conseille également de choisir les fenêtres en bois de préférence. C’est rustique et classique, mais ce matériau permet aussi de mieux garder la température intérieure de la maison.

Des peintures isolantes : kézako ?

Pour habiller aussi bien l’intérieur que l’extérieur de votre maison, pourquoi pas des peintures isolantes ? C’est également une grande tendance actuellement en France. Pour ce genre de produit, vous devez payer un peu plus. Mais les avantages pour la performance énergétique de votre maison ne sont pas des moindres.

Comme son nom l’indique, la peinture isolante permet d’avoir bien plus que des notes de couleur dans vos espaces. Elle a l’étonnante capacité de faciliter le chauffage de votre habitation. Bien évidemment, vous avez le choix entre plusieurs coloris. De quoi personnaliser votre espace comme d’habitude.

Habiller le sol de la maison avec des tapis

Il est également de rigueur d’habiller le sol de la maison avec des tapis. C’est nécessaire, peu importe le type de revêtement de sol de votre maison. Bien évidemment, on ne vous demande pas de cacher vos sols avec une moquette. Toutefois, sur le marché, vous avez le choix entre des tapis à poil long qui sont à la fois esthétiques et très confortables.

Ces accessoires en plus d’apporter une note d’originalité dans votre aménagement intérieur aident à garder la température dans chaque pièce. Ce qui équivaut, sur le long terme, à de l’économie d’énergie pour vous.

Un pare-vapeur pour éviter l’humidité

Enfin, avant de mettre vos revêtements de murs après vos travaux d’isolation, pensez à installer un pare-vapeur. Il s’agit d’une sorte de revêtement en plastique qui vient couvrir les isolants. Ce qui aide à augmenter la performance énergétique de votre bâti.

Outre le fait de faciliter le chauffage, le pare-vapeur joue un autre rôle : celui de vous protéger contre l’humidité. Les chauffagistes et les artisans certifiés RGE peuvent notamment vous accompagner dans sa mise en place, mais également dans le choix de l’accessoire idéal à utiliser pour peaufiner vos travaux de transition écologique. Cela peut impacter sur le devis total des travaux.

Comme l’adoucissant pour linge est utilisé en fin de lavage, il reste sur le linge et nos vêtements jusqu’au prochain lavage. Le produit entre donc en contact direct avec notre peau. Ce n’est pas tout, les résidus du produit assouplissant sont déversés dans la nature, via le réseau des eaux usées et entrainent la pollution de l’eau. Il convient alors de choisir un produit plus vert, voire fabriquer son propre adoucissant pour être sûr d’agir écologique.

Pourquoi opter pour un adoucissant naturel

Au fil du temps, nos linges et vêtements deviennent rêches et ternes. Ceci est dû en grande partie au calcaire contenu dans l’eau de lavage, mais peut être aussi causé par les résidus de lessive ou de détergent. Nous sommes alors tentés par l’utilisation d’assouplissant qui, trop commercial, paraît efficace et convaincant. Pourtant, contenant trop de substances chimiques, les produits adoucissants pour linges vendus sur le marché sont très dangereux pour l’environnement, mais aussi pour nous-mêmes. Ils contiennent souvent des ammoniums quartenaires et des détergents qui causent des irritations, des allergies et même des maladies de la peau. Leur impact écologique n’est pas moindre, compte tenu du nombre considérable de lessives effectuées chaque jour aux quatre coins du monde.

Quels sont les ingrédients d’un assouplissement écologique ?

Fabriquer ses produits d’entretien domestique quotidien avec des ingrédients naturels est un geste écologique, mais aussi économique. L’adoucissant écologique se fabrique avec des produits 100% naturels, respectueux de l’environnement et de la peau. Le composant principal et très usité est le vinaigre blanc. Basique du nettoyage écologique, le vinaigre blanc élimine les saletés tenaces sur tous les supports, assouplit le linge et son odeur s’estompe dans le temps. La première recette consiste à mélanger ½ litre de vinaigre d’alcool blanc avec 1 litre d’eau déminéralisée, 2 cuillères à soupe d’amidon de riz et 1 cuillère à soupe de glycérine. Une autre méthode d’éco-assouplissant consiste à mélanger 300ml de vinaigre blanc avec 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude et ½ litre d’eau. Un simple mélange d’eau et de vinaigre blanc suffira également à adoucir votre linge après le lavage. Vous pouvez agrémenter chacune de vos recettes de quelques gouttes d’huile essentielle, de la lavande de préférence, car elle convient à presque tout le monde.

Les alternatives écologiques à l’adoucissant pour linge

La balle de lavage est la première alternative qui nous vient à la tête. C’est la boule en silicone conçue pour battre et braser le linge pendant la phase de lavage, contrairement aux adoucissants. Toutefois, son utilisation n’est pas très recommandée pour les linges fins et fragiles. Ensuite, il faut veiller à ce que le linge soit bien rincé. En effet, les dépôts de détergents et de lessive font des linges secs. Fabriquer vous-même votre lessive peut garantir des linges plus doux. Vous avez le choix entre la noix de lavage indienne et le lierre. Vous pouvez aussi opter pour les sèche-linges, fonctionnant à l’énergie verte idéalement, car ils sont connus pour donner du gonflant et de la douceur au linge. Sinon, repasser le linge encore un peu humide ou le repasser à la vapeur reste des solutions relativement simples.

L’apiculture est un domaine fascinant, mais sa pratique exige d’avoir certaines qualités et connaissances. Il est également indispensable d’investir dans du matériel de qualité. Cela étant afin d’assurer le bon rendement des ruches. Si vous désirez vous lancer dans l’élevage d’abeilles, vous devez vous munir de certains équipements. Cet article vous présente justement quelques équipements dont vous avez besoin si vous voulez devenir un apiculteur professionnel.

Le matériel de base à avoir

Afin de lancer votre activité d’apiculteur dans les meilleures conditions, vous devez disposer d’une ruche et de quelques abeilles ainsi qu’une reine. Les ruches se déclinent en plusieurs modèles, avec des options différentes. En général, elles sont composées d’un corps, d’un toit, de hausses dans lesquelles viennent s’aligner les cadres, d’un couvre cadre et d’un plateau. La taille et le volume d’une ruche peuvent varier d’un modèle à un autre, et il en va de même pour le prix.
Quant aux abeilles, il vous est possible de les chercher directement dans la nature en récupérant un essaim et en transportant directement leur ruche. Mais vous pouvez aussi vous en procurer auprès d’éleveurs professionnels. Dans les deux cas, avoir une reine par ruche est indispensable pour réussir à garder les abeilles ouvrières. L’avantage d’acquérir une ruche déjà peuplée réside dans le fait que vous pouvez directement commencer votre production. L’inconvénient, c’est que la qualité du miel obtenue ne sera pas forcément garantie. Le fait d’acheter un essaim vous permet de connaître exactement la race des abeilles ainsi que leur âge. Mais si vous débutez en apiculture, il est préférable de vous procurer une ruche déjà peuplée.

Les équipements nécessaires pour la protection

En tant qu’apiculteur, vous devez vous équiper de vêtements adaptés afin de vous prémunir des piqûres d’abeilles. Cette activité vous oblige en effet, à rentrer en contact avec les abeilles de manière récurrente. Certaines actions comme le nettoyage des ruches et la récolte du miel dérangent ces insectes. Ces actions risquent ainsi de les rendre agressifs. Vous devez de ce fait vous équiper d’une combinaison adaptée et porter des gants ainsi que des bottes renforcées pour éviter leurs piqûres. Pour plus de praticité, il est préférable de choisir des tenues d’apiculteur munies d’élastiques au niveau des chevilles et des poignets. Par ailleurs, pour vous aider lors de la récolte, vous devez investir dans un enfumoir. Cet appareil permet de calmer et d’occuper les abeilles, vous permettant ainsi de recueillir plus facilement le miel. Afin de retirer les cadres de manière sécurisée, se munir d’un lève-cadre est également recommandé.

Les équipements pour la culture et les récoltes

Si vous désirez réussir votre élevage d’abeilles et en obtenir d’excellent rendement, vous avez besoin de matériel d’apiculture, mais également de vous procurer des manuels d’apiculture. Vous pourrez y puiser de meilleurs conseils vous permettant ainsi de bien débuter dans le métier. Notez dans ce cas qu’il est important de nourrir les abeilles en automne comme en hiver. Pour cette raison, vous devez disposer d’une nourriture de subsistance qui remplacera le miel. Vous pouvez en trouver dans les magasins spécialisés. Ces substituts sont vendus en moyenne à 10 € le sac de 2,5 kg. Afin de préserver la qualité du miel lors des récoltes, vous devrez utiliser un maturateur. Celui-ci permet de conserver la récolte tout en préservant toute sa qualité. Vous aurez également besoin d’un extracteur grâce auquel il vous sera possible d’extraire le miel des alvéoles et de purifier le miel en éliminant toutes les impuretés.

Une des meilleurs moyens de protéger l’environnement est de vivre de manière plus écologique en recyclant et en utilisant l’eau de pluie. Mais comment faire ? Découvrez ici la manière de recycler l’eau de pluie, puis de l’utiliser au quotidien.

Comment récupérer l’eau de pluie ?

Pour pouvoir recycler et réutiliser l’eau de pluie, vous devez aménager un système de stockage et de pompage d’eau qui servira de distributeur. Le système doit aussi être muni d’un filtre pour purifier l’eau et éliminer les différents polluants. Pour la récupération d’eau, il suffit d’observer et de suivre son cheminement à travers les gouttières du toit ou les dalles. Sinon, vous pouvez également acheter un récupérateur d’eau pluviale. Pour le stockage d’eau, vous pouvez choisir une citerne ou une cuve. Si vous désirez utiliser l’eau récupérée pour arroser votre jardin, le moyen de stockage idéal est la citerne qui est très volumineuse, pouvant contenir jusqu’à 100 000 litres. Pour être plus pratique, vous pouvez directement la placer juste à côté ou au centre du jardin.

Comment traiter l’eau recyclée ?

Par rapport à l’eau de source naturelle, l’eau de pluie est de bonne qualité puisqu’elle n’a pas circulé à travers les roches calcaires et donc elle ne dispose pas de sels minéraux. Néanmoins, avant son usage, mieux vaut toujours la traiter pour supprimer les éventuelles matières organiques ou bactéries. Le traitement doit dépendre de l’usage que vous voulez faire de l’eau. Par exemple, si vous désirez l’utiliser pour laver les linges ou irriguer les W.C., vous n’avez pas besoin de la traiter. Mais pour la maison ou pour la douche, vous devez la traiter avec des produits adéquats comme l’eau de javel ou l’utilisation d’un stérilisateur ultraviolet ou encore d’un filtre au charbon actif. À part le dispositif de filtration des débris, vous devez aussi bien couvrir votre citerne de stockage d’eau pour garder l’eau au propre. Vous devez également prévoir une sortie de débordement en cas de plénitude de la cuve.